Incompatibilité entre sécurisation de l'employé et fluidification du marché du travail ?
France 5, Émission « C dans l'air », lundi 10 septembre 2012.
Sujet :
« Les tiers payants de M. Hollande »
Monologue « avec » Christophe Barbier de l'Express
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Sujet : France 5, C dans l'air, lundi 10 septembre 2012.
Date : mardi 11 septembre 2012
De : "Jean-Pierre Llabrés" <Jean-Pierre.Llabres@laposte.net>
À : Christophe Barbier
Cher Monsieur Barbier,
À la 42ème minute de l'émission, vous avez très précisément dit ceci :
QUOTE "CB"
Qui, aujourd'hui peut croire qu'on va trouver une formule qui sécurise l'employé et qui fluidifie le marché du travail ? Ce sont deux termes
antagonistes.
UNQUOTE
Cette opinion, concernant l'incompatibilité entre sécurisation de l'employé et fluidification du marché du travail, est très répandue (conformiste, voire lieu commun) ainsi que l'attestent les quelques lignes ci-dessous :
QUOTE
La réussite du Capitalisme à améliorer globalement le niveau de vie des êtres humains ne saurait masquer son échec structurel majeur, à savoir : son incapacité à éradiquer une
injustice économique et sociale indubitable. Pour preuve : de par le monde, des centaines de millions de nos contemporains sont contraints de survivre avec moins d’un Euro par jour !
Malgré cela, un intellectuel contemporain estime que, dans le Capitalisme, la contradiction entre le capital et le travail, avec son corollaire, la lutte des classes, a été résolue.
Au contraire, un autre penseur, contemporain également, diagnostique qu’il est mystificateur de croire qu’au sein du Capitalisme, il y a compatibilité entre compétitivité et cohésion sociale ;
entre compétitivité et solidarité.
UNQUOTE
En dépit de ma "supplique" d'hier matin, j'ignore si vous avez lu le texte que je vous proposais à la lecture en vue de sa publication.
Exclusivité : Mémoires du Président
Hollande ; 2012 - 2022
http://www.sincerites.org/article-memoires-presidentiels-2012-2022-51577680.html
Dans ce texte, je démontre que l'incompatibilité postulée entre sécurisation de l'employé et fluidification du marché du travail, d'une part, et entre compétitivité et cohésion sociale, entre compétitivité et solidarité, d'autre part, n'est absolument pas irréversible ! ! !
Cf. Lignes ci-dessous extraites du texte ci-dessus.
QUOTE "J-P LL"
En d’autres termes, sera résolue l’ultime contradiction au sein du capitalisme, à savoir, entre le capital et le
travail, avec son corollaire, la lutte des classes, c’est-à-dire l’incompatibilité entre la compétitivité et la cohésion sociale, entre la compétitivité et la solidarité.
UNQUOTE
Je me tiens à votre disposition pour toute information complémentaire.
Bien cordialement,
Jean-Pierre LLABRÉS
--------------------------------------------18 septembre )-----------Message transmis--------------------------------------
Sujet : France 5, C dans l'air, lundi 10 septembre 2012.
Date : mardi 18 septembre 2012
De : "Jean-Pierre Llabrés" <Jean-Pierre.Llabres@laposte.net>
À : Christophe Barbier
Depuis le mardi 11 courant, vous n'avez pas répondu au courriel ci-dessous.
Dois-je m'en remettre, comme précédemment, au dicton : "Qui ne dit mot consent ?".
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Cher Monsieur Barbier,
Texte du courriel du 18 septembre rigoureusement le même que celui du 11 ci-dessus.
Bien cordialement,
Jean-Pierre LLABRÉS
Sujet : France 5, C dans l'air, lundi 10 septembre 2012.
Date : mardi 25 septembre 2012
De : "Jean-Pierre Llabrés" <Jean-Pierre.Llabres@laposte.net>
À : Christophe Barbier
Courriels des 11 & 18 courant restés sans réponse.
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Cher Monsieur Barbier,
En butte à votre "silence obstiné", :o), je me résigne à me référer au dicton "Qui ne dit mot consent".
À votre grand regret, peut-être, votre "consentement muet" m'impose d'approfondir quelque peu la réflexion en cours.
Pardonnez, SVP, cette sorte de harcèlement textuel. :o)
Quand vous avez dit, le 10 septembre, "Qui, aujourd'hui peut croire qu'on va trouver une formule qui sécurise l'employé et qui fluidifie le marché du travail ? Ce sont deux termes antagonistes.", j'imagine que, dans votre esprit, vous aviez bien conscience qu'il s'agissait d'un point important, majeur, fondamental, en matière de socio-économie capitaliste.
En effet, depuis Marx, ce problème est le premier point d'achoppement entre patronat et salariat.
En conséquence, lorsque je vous démontre, en toute (im)modestie, sans être un Prix Nobel d'Économie, que ce problème peut être résolu, ma proposition de solution doit, malgré tout, à vos yeux, surpasser en importance le problème initial à résoudre.
Dans ce cas, sauf à ce que vous démontriez le caractère erroné de ma solution, votre déontologie journalistique ne vous contraint-elle pas à rendre compte, publiquement, de ma solution qui rend caduque votre interrogation initiale et résout un problème socio-économique capitaliste fondamental posé depuis plus de 160 ans ?
Remerciements anticipés pour votre réponse.
Je me tiens à votre disposition pour toute information complémentaire.
Bien cordialement,
Jean-Pierre LLABRÉS
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Courriel du 25 septembre resté sans réponse à ce jour, mardi 2 octobre 2012...
Post-scriptum :
Éventuellement, lire également :
Refondation du Capitalisme & Instauration d'un Dividende Universel par l'Épargne.