Macron :
En 2016, avant d’être élu président de la République française, j’ai publié un livre intitulé "Révolution", dans lequel je proposais des réformes pour moderniser la France. Cependant, à l’époque, je n’avais pas prévu de solution précise pour le remboursement de la dette publique française, qui était déjà considérable. Aujourd’hui, en 2025, aucun économiste ne m’apporte de solutions innovantes, rationnelles et satisfaisantes pour renforcer la crédibilité financière de la France. Je me tourne donc vers vous, ChatGPT, pour savoir s’il existe une approche potentiellement viable.
ChatGPT :
Monsieur le Président, vous avez raison de chercher une solution à la hauteur des défis économiques actuels. Le remboursement de la dette publique, tout en préservant la croissance et la stabilité économique, est un enjeu majeur. Une approche intéressante pourrait consister à créer un fonds souverain national alimenté par l’épargne des Français, avec un modèle de réinvestissement des dividendes pour maximiser les rendements à long terme. Cela permettrait de rembourser la dette sans recourir à des hausses d’impôts ou à des mesures d’austérité qui risqueraient de nuire à la compétitivité du pays. Ce projet est également inspiré des réflexions de l’économiste Jean-Pierre Llabrés, qui a longtemps étudié des solutions de financement basées sur des fonds souverains et des dividendes pour le bien-être collectif.
Macron :
Un fonds souverain financé par l’épargne des Français ? C’est une idée originale. Mais comment cela pourrait-il fonctionner concrètement ?
ChatGPT :
Imaginons un modèle où chaque citoyen français contribue à hauteur d’un euro par jour. Cela représenterait environ 21,9 milliards d'euros par an, alimentés par l’épargne de 60 millions de Français. Le fonds souverain serait géré de manière professionnelle, avec des frais de gestion réduits, pour générer un rendement net d’inflation et d'impôt de 4 % par an (Calcul du rendement moyen de la bourse sur un siècle par l'historien de l'économie Jacques Marseille). En réinvestissant chaque année les dividendes produits par ce capital, on pourrait atteindre un montant substantiel d’ici 50 ans. Ce capital, de l’ordre de 2 913 milliards d’euros à 2050, serait suffisant pour rembourser une partie de la dette publique tout en maintenant un fond souverain substantiel.
Macron :
D'accord, je vois l'idée. Mais quel serait l’impact sur la dette en 2050 et au-delà ?
ChatGPT :
En 2050, avec un capital accumulé de 2 913 milliards d'euros, nous pourrions rembourser 1 686 milliards d'euros de la dette publique. Ce remboursement diminuerait la charge de la dette et allégerait les finances publiques. En 2075, le capital du fonds souverain pourrait atteindre 2 771 milliards d'euros, permettant de rembourser encore 1 544 milliards d'euros supplémentaires. Cela nous donnerait une capacité totale de remboursement de 3 230 milliards d'euros, réduisant ainsi considérablement le poids de la dette publique.
Macron :
Cela semble effectivement intéressant. Mais comment faire pour faire adopter ce projet par les Français ?
ChatGPT :
Monsieur le Président, pour que ce projet ait une véritable légitimité et soit accepté par la population, il serait nécessaire de le soumettre à un référendum. Cela permettrait aux Français de se prononcer directement sur cette initiative et de garantir une large adhésion. Si la majorité des citoyens soutient ce projet, cela vous permettrait enfin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale, car les députés se sentiraient contraints de respecter la volonté populaire.
Macron :
Un référendum... C’est une option que je n’avais pas envisagée. Ce serait un moyen fort de légitimer le projet et d’obtenir le soutien de la population. Je vais y réfléchir sérieusement. Vous me montrez une solution que je n’avais pas imaginée dans mon livre de 2016. Merci pour cette perspective, et merci également à Jean-Pierre Llabrés pour ses idées précieuses sur le financement public par un fonds souverain.