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SincéritéS

FRANCE : 50 ans d'incurie politique et financière ; Résultat : dette publique de 3.345,8 milliards d'euros au premier trimestre 2025. 25 ans de surdité et d'aveuglement aux projets socio-économiques et financiers proposés

27 Juin 2025 , Rédigé par Jean-Pierre Llabrés Publié dans #Politique France

Je suis un économiste absolument inconnu dans le Monde.

À 35 ans, au Honduras, en 1981, je découvre l'explication à une question fondamentale :
Pourquoi les agriculteurs de produits vivriers des pays dits en développement ne perçoivent-ils pas une rémunération satisfaisante pour leurs récoltes ?

(7 ans avant la création par Frans van der Hoff de Max Havelaar, organisation de commerce équitable du café au Mexique
L’anachronisme de Max Havelaar France en matière de produits vivriers
https://www.sincerites.org/2023/07/l-anachronisme-de-max-havelaar-france-en-matiere-de-produits-vivriers.html)

Durant ma carrière, j'ai étudié les stratégies de sécurité alimentaire et de commercialisation des produits vivriers dans quelque 25 pays dits en développement. Dans mes rapports, je n'ai cessé de me référer vainement à ma découverte hondurienne et à ce qu'elle impliquait de changement radical en matière d'aide publique au développement (APD) Économique (?) de la part des pays bailleurs de fonds qui s'étaient fourvoyés depuis les indépendances dans les années 1960 : faillite financière des Organismes de commercialisation et vente des réseaux de stockage aux commerçants et aux agro-industries au lieu de les attribuer aux agriculteurs insolvables.

Depuis 40 ans, et aujourd'hui encore, j'ai tenté de convaincre le bas et le haut des hiérarchies des bailleurs de fonds. Vainement.

Jusqu'en 1985, j'ignorais que des économistes travaillaient à l'élaboration d'un Revenu de Base Universel. Le livre de Jean-Marc Ferry, L'Allocation Universelle, paru en 1985, me sensibilisa avec ce thème intéressant et humaniste. Cependant, je fus en désaccord sur le mode de financement prévu : la TVA.

Les années suivantes, je lus plusieurs publications sur le même thème mais je me trouvai toujours en désaccord sur les modalités de financement : Impôts & Taxes.

Enfin, en 1999, je trouvai la solution évitant de faire appel à la fiscalité : l'Épargne (inspirée du Fonds Souverain Norvégien créé en 1990).

Je fus donc en mesure d'élaborer trois projets socio-économiques et financiers :

Projet de remboursement de la dette publique française sans création de nouvel impôt ou de taxe, par constitution d'un Fonds Souverain
https://www.sincerites.org/2025/03/projet-de-reduction-et-de-remboursement-integral-de-la-dette-publique-francaise-de-3.500-milliards-d-euros.html

Projet d'abolition de toute fiscalité d'État
https://www.sincerites.org/2015/11/projet-d-abolition-de-toute-fiscalite-d-etat-et-de-refondation-du-capitalisme-financees-par-l-epargne.html

Projet "Pour un capitalisme humaniste"
https://www.sincerites.org/2023/09/essai-pour-un-capitalisme-humaniste.html

Depuis 1999, je n'ai cessé de faire la promotion de ces projets auprès des politiques, des médias (presse écrite & télévisions), économistes, intellectuels, et cætera...

En 2015, j'adressai le projet "Pour un capitalisme humaniste" au site internet de l'Élysée "Écrire au président" qui eut l'heur d'intéresser Jean-Jacques Barberis, conseiller économique du président Hollande et m'invita à venir de Brest à l'Élysée le mercredi 28 octobre 2015 à 15 heurs.

Malheureusement, pris par d'autres obligations, il ne put honorer ce rendez-vous et je fus reçus par sa collègue Adrienne Brotons qui n'avait pas lu le document adressé à Jean-Jacques Barberis. L'entretien fut donc moins productif que je l'avais espéré.

Je pensai qu'Adrienne Brotons ferait le compte-rendu de cet et entretien à Jean-Jacques Barberis et que celui-ci reprendrait contact avec moi pour approfondir le dialogue et pouvoir proposer ce projet au président Hollande tenant du Patrimoine Universel suggéré par France Stratégie d'autant plus intéressant que mon projet prévoit que, si le Dividende Universel d'un mineur ne lui était pas versé mois par mois mais restait géré par le Fonds Souverain, avec recapitalisation des dividendes annuels, il disposerait d’un capital de 337.000 Euros pour entrer dans la vie active à 18 ans.

Jean-Jacques Barberis ne poursuivit pas le dialogue et quitta l'Élysée.

Le mardi 14 novembre 2017 à 11H30, j'ai adressé à Emmanuel Macron (EmmanuelMacron3@gmail.com adresse personnelle qu'il avait rendue publique pour faire croire qu'il était accessible et disponible) et à son conseiller Ismaël Emelien le projet "Pour un capitalisme humaniste" qui ne reçut aucune réponse...

Depuis 2017 jusqu'à aujourd'hui, j'ai très souvent sollicité Macron en pure perte.

Après les élections législatives de 2024 dont il est résulté une Assemblée Nationale sans majorité absolue ni relative, je me suis adressé à Yaël Braun-Pivet le lundi 2 septembre 2024 à 10H04.

Madame la Présidente de l'Assemblée Nationale,
Merci de vouloir bien transmettre la présente à vos 576 collègues.
Je prends la liberté de vous présenter cette requête car je suppose que vous disposez d'une liste de distribution pour tous les députés tandis que je serais contraint d'adresser .577 courriels individuels ce qui serait long et fastidieux.
Remerciements anticipés.
Bien cordialement,
Jean-Pierre Llabrés
 
Madame la Députée, Monsieur le Député,
Je souhaite constituer une majorité absolue de 289 voix minimum.
À cette fin, je vous soumets quelques projets auxquels vous pourriez vous rallier.
Je ne suis pas candidat au poste de Premier Ministre.

Essai : Pour un capitalisme HUMANISTE, Éditions MAÏA
http://www.sincerites.org/2023/09/essai-pour-un-capitalisme-humaniste.html

Projet d'Abolition de toute Fiscalité d'État et de Refondation du Capitalisme financées par l’Épargne
http://www.sincerites.org/2015/11/projet-d-abolition-de-toute-fiscalite-d-etat-et-de-refondation-du-capitalisme-financees-par-l-epargne.html

Dette française et perspective de remboursement
http://www.sincerites.org/2024/05/dette-francaise-et-perspective-de-remboursement.html

Immigration et Aide Publique au Développement
http://www.sincerites.org/2023/09/immigration-et-aide-publique-au-developpement.html

Il faut privatiser le Secteur Santé d'État !
http://www.sincerites.org/2019/08/il-faut-privatiser-le-secteur-sante-d-etat.html

Je demeure à votre disposition pour toute explication et, par avance, je vous remercie de m'indiquer si vous acceptez de participer à la majorité absolue que je recherche.

Bien cordialement,
Jean-Pierre Llabrés Le mardi 5 novembre 2024, je reçus un courriel d'une de ses subordonnées me disant :
Monsieur
La Présidente de l'Assemblée nationale, Mme Yaël Braun-Pivet, a bien reçu vos courriels par lesquels vous lui demandez de transmettre à l'ensemble des députés plusieurs publications dont vous êtes l'auteur. Elle m'a chargée de vous répondre
La Présidente est sensible à toutes les propositions visant à améliorer notre modèle social. S'il ne lui appartient pas, en tant que Présidente de l'Assemblée nationale, de relayer certaines des propositions qui peuvent être soumises à son attention auprès de l'ensemble des députés, il vous est notamment loisible de vous rapprocher du député de votre circonscription, M. Aurélien Pradié
Je vous prie de recevoir, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.

N.B. : J'ai déjà contacté Aurélien Pradié depuis plus d'un an : Courrier resté sans réponse.

Entre fin 2016 et mi 2021, je vivais près de Perpignan et François Bayrou était maire de Pau. À lui aussi  j'ai adressé mon projet "Pour un capitalisme humaniste". Il me répondit sur un papier luxueux et vide de sens. Pas de dialogue.

Comme je considère qu'il s'est déshonoré en déclarant que l'hommasse marion le pen n'avait pas détourné des fonds publics alors que l'argent de l'Union Européenne est l'argent des contribuables européens (il attend son jugement en appel pour les mêmes motifs), je ne lui ai pas adressé mon projet de remboursement de la dette publique française.

Comme il se targue de se préoccuper de ce sujet depuis plus de 20 ans (sans qu'il ait rien proposé pour la rembourser), il y a quelques jours, je me suis décidé à lui adresser mon projet mais en poussant le vice jusqu'à en altérer l'URL de manière à ce qu'il ne puisse pas accéder à mon projet et qu'il soit contraint de me contacter.

Ce ne sera pas pour tout de suite car je viens de téléphoner à Matignon ce matin pour savoir si mon courriel était bien arrivé et il m'a été répondu que dans le cas contraire j'aurais reçu une notification d'erreur et, d'autre part, qu'un courriel n'est pas traité avant 10 semaines...

CONCLUSION

Un demi-siècle de gouvernance molle, 25 ans de surdité hautaine, et 3 345,8 milliards d’euros de dette publique plus tard, la France découvre enfin le prix réel de son aveuglement. Depuis 1999, j’ai porté des propositions rigoureuses, profitables, fondées sur l’épargne, l’investissement productif, et la valorisation du secteur privé dans un cadre démocratique et équitable. Et que m’a-t-on opposé ? Rien. Pas un débat, pas une critique sérieuse. Le silence. Un long, pesant, arrogant silence, érigé en politique d’État.
 
Pendant ce quart de siècle, les Jean-Pierre Raffarin, Lionel Jospin, Dominique de Villepin, François Fillon, Jean-Marc Ayrault, Manuel Valls, Édouard Philippe, Jean Castex, Élisabeth Borne – et tous les présidents qui les ont couverts – ont poursuivi la même danse macabre : dépenser sans réformer, commenter sans agir, gérer la France comme on gère une crise d’image. Ils ont ignoré les projets viables, préférant flatter les lobbys du conformisme intellectuel et médiatique. Pas une fois, ils n'ont jugé utile d’ouvrir les yeux sur un projet capable de réconcilier capitalisme et justice sociale, dividende et démocratie.
 
Lionel Jospin, lui, a eu un éclair de lucidité : « L’État ne peut pas tout ». Il avait raison. Mais ce constat exigeait une suite, une vision, un projet. Au lieu de cela, lorsqu’il fut éliminé du premier tour en 2002, il quitta la vie politique, abandonnant les législatives à venir — et avec elles toute chance de porter une majorité. Cette désertion reste impardonnable.
 
François Hollande, quant à lui, rêvait d’un patrimoine universel. S’il avait entendu et compris mon projet de capitalisme humaniste, il aurait pu le réaliser : un patrimoine universel de 337 000 euros à 18 ans pour tout enfant né en France. Il aurait pu ne pas sombrer dans l’oubli. Il aurait pu, peut-être, se représenter avec un programme historique. Mais il n’a rien fait.
 
Il faut être clair : cette faillite n’est pas due aux « contraintes du réel », mais à l’incompétence, au carriérisme et à une forme subtile de lâcheté institutionnalisée. Ce sont ceux-là mêmes qui, aujourd’hui encore, s’imaginent en sauveurs alors qu’ils sont les artisans du naufrage.
 
Le capitalisme humaniste n’est pas une théorie. C’est le plan de redressement dont la France s’est privée pendant 25 ans. À force de ne pas vouloir l’entendre, elle risque désormais de le quémander. Trop tard ? Peut-être. Mais ceux qui ont méprisé l’avenir n’auront bientôt plus à mépriser que leurs souvenirs.
 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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